Généralisant l’œuvre de Pierre François Verhulst, Vito Volterra et René Kuczynski, Alfred Lotka pose la théorie de la reproduction des espèces sexuées et définit les notions de « population stable » et de « population stationnaire ».
Son nom est associé aux équations de Lotka-Volterra de la dynamique des populations.
Il s’est aussi intéressé à la manière dont la science se développe : en se basant sur l’étude de l’index des Chemical abstracts, il a formulé en 1926 la loi de productivité scientifique, qui établit une relation hyperbolique entre le nombre de chercheurs publiants et le nombre d’articles scientifiques publié par chacun d’entre eux.
Expérience numérique interactive du modèle proie-prédateur de Lotka-Volterra (source+article) :