Rota commença sa carrière en analyse fonctionnelle puis il se spécialisa en combinatoire (1960). Il se consacra ensuite à la théorie de l’incidence, généralisant les formules de Moebius. Il posa les fondements du calcul ombral et unifia la théorie des suites de polynômes de Isadore M. Sheffer (en). Gian Carlo Rota mourut dans son sommeil. Une salle de lecture du MIT porte son nom.
A lire
- « De la combinatoire algébrique à la phénoménologie » de Frédéric Patras (LJAD/Nice)